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Écriture SEO : Le guide complet pour tout savoir sur l’optimisation des contenus pour les moteurs de recherche

Difficile de se passer de l’écriture SEO aujourd’hui si l’on veut être visible sur les moteurs de recherche. Les clients qui veulent accroître la part de leur trafic organique et améliorer le référencement naturel de leur site internet ont bien compris son utilité. Elle est tout simplement indispensable pour être bien positionné sur Google. Maîtrisée par les rédacteurs web qui affichent la mention « SEO » sur leur profil LinkedIn, elle reste un mystère pour bon nombre de personnes. Pour tout savoir sur la rédaction SEO, lisez ce qui suit !

Qu’est-ce que la rédaction SEO ?

La rédaction SEO consiste à écrire des contenus pour des sites internet, de telle sorte qu’ils se positionnent bien dans les résultats des moteurs de recherche sur leurs mots-clés. Il s’agit d’une manière de concevoir des textes que l’on dit « optimisée » pour le référencement naturel.

L’écrit tient une part importante dans le processus de hiérarchisation des résultats sur Google. C’est même un des 3 piliers du référencement, avec l’aspect purement technique et les liens. Eh oui, avant toute chose, les robots lisent du texte. Ils ont donc besoin de matière pour indexer et classer correctement un site. Mais si vous pensiez qu’un contenu conçu sans logique SEO pouvait avoir des chances de ressortir, vous faites fausse route (sauf, peut-être, sur un secteur de niche… et encore !). Pour espérer être lu par les internautes, il faut être visible. Pour cela, il n’y a pas de mystère, il faut appliquer les principes de l’écriture SEO dans ses contenus web.

Les bases de la rédaction optimisée pour le référencement SEO

Comment faire du SEO avec la rédaction de contenu ? En appliquant certains principes, indissociables de ceux de la rédaction web « classique ». Voyons tout de suite comment optimiser un texte pour le SEO.

Le choix des mots-clés

L’écriture SEO mêle techniques de base de la rédaction web et spécificités du référencement Google. Tout commence par une recherche effectuée par un internaute. On l’appelle requête clé (ou mot-clé). Il pourrait tout à fait s’agir, par exemple, de « mot-clé Google » ou encore « trouver des mots-clés dans un texte ». Pour identifier les idées valant la peine d’être traitées (comprenez qui sont à la fois suffisamment tapées tout en n’étant pas surexploitées par la concurrence), il est préférable d’utiliser des outils SEO. Eux seuls donnent l’information sur les volumes de recherche, ces si précieux indicateurs. Le plus célèbre est le planificateur de mots-clés Google, mais il en existe bien d’autres, dont Keyword Everywhere. Lucie Rondelet le présente dans cette vidéo (attention, depuis l’outil est devenu payant, mais son coût reste très accessible).

Ce travail de recherche de mot-clé est un préalable indispensable à toute rédaction de contenu SEO.

⏩ Pour aller plus loin : Comment trouver des mots-clés ?

Le title, le titre SEO d’une page web

Une fois les mots-clés déterminés, l’optimisation peut commencer. La base en référencement est que chaque page d’un site internet doit être rédigée en fonction d’une seule et unique requête. Une page = une requête. On doit la retrouver dans un certain nombre d’endroits stratégiques, dont le title.

Qu’est-ce que le title ? C’est le titre SEO d’une page ou d’un article, celui qui apparaît dans les résultats suggérés par les moteurs de recherche (en bleu). L’optimisation du title répond à plusieurs exigences, qui mêlent SEO et expérience utilisateur (UX) :

  • La requête clé doit y figurer.
  • Elle doit être placée plutôt au début, pour que l’internaute la voie.
  • Aucune autre requête clé ne doit être présente, au risque de brouiller sa bonne compréhension par les robots.
  • L’intitulé doit donner envie au lecteur de cliquer dessus (on parle de « title copywrité »).
  • Il ne doit pas être trop long, pour ne pas être tronqué par Google.

Le balisage HTML

Avant d’entamer la rédaction à proprement parler, il convient de construire une structure de texte optimisée, grâce à un balisage HTML pertinent. De quoi s’agit-il ? D’un code encadrant le texte, permettant de le mettre en forme dans un navigateur web. Il existe des balises pour les titres, pour le gras, l’italique, pour les liens, pour les paragraphes… Le rédacteur web SEO n’a pas besoin de maîtriser l’entièreté du langage HTML : quelques connaissances de base suffisent.

La requête choisie doit se retrouver dans les endroits stratégiques que sont les balises hn, qui correspondent au titre de la page (h1) et aux intertitres (h2, h3…). Elles sont primordiales en SEO, car elles sont un critère de pertinence fort pour le classement d’une page dans un moteur de recherche. Il faut savoir que leur poids est décroissant (la balise h1 a plus de poids qu’une balise h2, qui elle-même a plus de poids qu’une balise h3…). Aussi, quand vous préparez vos plans, privilégiez le placement des requêtes clés dans les h2 plutôt que dans les balises de niveau inférieur.

Pour renforcer la puissance des intertitres, il est recommandé d’y intégrer également des mots issus du champ sémantique relatif au sujet traité. Gardez toujours à l’esprit que les robots de Google s’appuient sur les balises hn pour savoir de quoi parle une page, et donc, pour la classer. Dans ces conditions, vous comprenez que l’élaboration d’une structure HTML SEO friendly est une étape clé de la création de contenu optimisée pour les moteurs de recherche.

Une petite mise en garde toutefois : n’oubliez pas que vous écrivez d’abord pour des humains. Aussi, veillez à créer un plan qui répond bien au titre et qui suit un fil conducteur logique. Dans l’idéal, il est construit sur le schéma de la pyramide inversée (le plus important d’abord).

⏩ À lire aussi : Balises HTML pour les nuls

L’écriture optimisée pour les moteurs de recherche : les bonnes pratiques

L’introduction

L’introduction doit être particulièrement soignée. Pour répondre aux exigences de l’optimisation pour les moteurs de recherche, elle doit comprendre la requête clé, mais aussi d’autres mots-clés, secondaires. L’introduction est primordiale en rédaction web, car c’est elle qui accueille le lecteur et qui lui donne (ou non) envie de poursuivre la lecture. Comme souvent, elle obéit à la fois à une logique de SEO et d’UX. On parle alors de SXO (Search Experience Optimization).

Le corps du texte

Il doit être écrit dans un français impeccable. Cela signifie qu’il doit être exempt de toutes fautes d’orthographe ou de typographie. Cela signifie également qu’il faut proscrire les placements de mots-clés qui se repèrent à des kilomètres et sont du plus mauvais effet pour le lecteur. Un peu comme ici : vous recherchez un support de rédaction SEO PDF, lisez notre guide rédaction web ultra complet. Beurk ! Les requêtes clés doivent être écrites en langage naturel, de manière à ne pas gêner la lecture.

Ici, je préfère vous prévenir, vous n’entendrez pas parler de densité de mots-clés, de pondération, etc. La philosophie de Lucie Rondelet est de rédiger un texte SEO conforme à ce qu’un internaute s’attendrait à lire sur la base d’une requête donnée. Il s’agit de dérouler pour lui un fil logique, agréable, qui l’amène d’un point A (une question, un problème à résoudre…) à un point B (la réponse, la solution, l’explication).

Bien entendu, les réponses promises dans le titre et l’introduction doivent avoir été apportées (ce qui n’est pas toujours le cas malheureusement) au risque de décevoir le lecteur. Dans l’idéal, elles sont données dès le début du texte. Le teasing, qui conduit l’internaute à scroller indéfiniment, ne fait pas bon ménage avec l’UX.

La (bonne) longueur

Combien de mots doit contenir un contenu pour le SEO ? Difficile de répondre à cette question de manière catégorique. À requête égale, l’idée est de faire mieux que les concurrents en n’oubliant pas de favoriser la valeur ajoutée. Faire un contenu plus long que les autres, mais creux serait improductif. Pour un contenu optimisé, il faut compter environ 1 000 mots. Attention, c’est une moyenne : cela peut être beaucoup plus. Une chose est sûre, la tendance est à l’allongement des articles au fil des ans, comme l’illustre le graphique ci-dessous, qui concerne le blogging.

histogramme illustrant l augmentation du nombre de mot d un article de blog entre 2014 et 2021
Depuis 2014, la longueur moyenne d’un article de blog a augmenté de 75 %, passant de 808 à 1 416 mots
Source : Orbit Media

Concernant la quête du nombre de mots idéal d’un texte, je vous laisse méditer sur ces paroles de Jay Baer, expert en web marketing et en expérience client, conférencier et auteur à succès :

« Nous examinons toujours le “nombre de mots” lors de la rédaction d’un article de blog, mais ce sera bientôt un anachronisme. De plus en plus de blogueurs incluent des galeries d’images, des vidéos et même des clips audio dans leur travail. Et ce n’est pas étonnant, car cette recherche démontre que les articles de blog en médias mixtes surpassent systématiquement les articles contenant uniquement des mots. »

Le gras

Faut-il mettre du gras ? Il y a plusieurs écoles. Ce qui est sûr, c’est que cette mise en relief fait partie des centaines de critères de pertinence pris en compte pour le référencement naturel. Mais un texte bourré de mots-clés en gras n’est pas agréable à lire. S’il est utilisé pour mettre en avant les idées fortes, il sert alors plutôt l’UX que le SEO. Sur ce point, chacun est libre de faire comme bon lui semble. La seule certitude est qu’il est inutile de mettre la requête clé en gras à chaque fois qu’elle apparaît dans le texte. Le lecteur n’apprécierait pas.

Texte SEO : exemple pour comprendre ce qu’est un contenu optimisé

« Un article SEO, c’est quoi ? » Si vous vous posez cette question, sachez que le billet que vous êtes en train de lire est un bon exemple d’article optimisé SEO. Tous les ingrédients pour plaire à Google et aux internautes y figurent : une requête clé clairement identifiable dans le title, une structure optimisée – avec des h2 comportant requêtes clés et champ sémantique de la thématique (la rédaction SEO) –, une vidéo introductive sur le sujet, des mots-clés placés habillement (j’espère ????) dans tout le texte, et un contenu intéressant (j’espère – bis – ????). Prenez le temps d’analyser cet article en portant votre attention sur tous ces détails, pour comprendre la logique d’un article SEO friendly.

Pour ceux qui se demandent comment améliorer un texte pour le SEO, c’est le même principe : des requêtes placées naturellement dans des endroits stratégiques. Parfois, le simple fait d’optimiser la structure des hn apporte déjà de bons résultats en termes de positionnement dans les moteurs de recherche.

Utiliser un logiciel d’aide à la rédaction SEO : bonne ou mauvaise idée ?

Parmi les rédacteurs web SEO, il y a ceux qui ne jurent que par les outils, et ceux qui y recourent le moins possible et préfèrent utiliser leur cerveau. Bien sûr, pour trouver des idées de mots-clés, l’appui d’un logiciel sera d’un grand secours. Mais les autres outils de rédaction SEO, ceux qui passent un contenu à la moulinette et donnent un score d’optimisation (Yoast en tête, mais il y en a tellement !) ne sont pas indispensables. Vous disposez de l’instrument le plus puissant du monde, qu’aucune intelligence artificielle ne pourra égaler : votre cerveau !

Rédaction de contenu SEO : 4 erreurs à éviter

1. Le bourrage de mots-clés

Le bourrage de mots-clés, aussi appelé keyword stuffing, est une technique de référencement naturel aujourd’hui complètement dépassée. Aussi, il ne sert à rien de placer 30 fois la requête clé dans un texte de 800 mots, car ce n’est pas la page qui la contiendra le plus de fois qui sera la première dans Google. Les algorithmes des moteurs de recherche sont désormais bien plus fins que cela et tant mieux pour nous, internautes.

Il est également obsolète d’écrire des mots-clés en blanc sur fond blanc. Eh oui, il y a quelques années, cette technique faisait pourtant partie des pratiques courantes chez les référenceurs.

J’irais plus loin en disant qu’aujourd’hui, ces pratiques sont dangereuses pour le référencement naturel d’un site, car Google les considère comme spammantes. Méfiance donc.

2. Une structure non optimisée ou suroptimisée

Nous l’avons vu, une structure correctement optimisée est la clé pour un texte bien positionné dans les moteurs de recherche. Mais si les intertitres doivent être rédigés avec soin, intégrant mots-clés et champ sémantique, gare aussi à l’effet inverse : la suroptimisation. Concrètement, cela consisterait à placer la requête clé dans chacun des h2 par exemple.

Une erreur commune est aussi d’élaborer des structures trop courtes, avec peu de h2. Or ces intertitres sont puissants pour le SEO et il est dommage de se priver de leur « pouvoir ». Il est donc préférable d’opter pour un plan en plusieurs h2 plutôt qu’en 2 h2 avec des h3.

3. La concurrence de la requête clé dans le title

Le title est un élément de poids dans le SEO, nous l’avons dit aussi. Une faute de débutant consiste à placer involontairement un autre mot-clé dans le titre, ou à transformer la requête clé en longue traîne. Admettons que vous écriviez un texte à partir de la recherche « Où dormir à Venise ». En optant pour « Où dormir à Venise en famille : nos bons plans », vous transformeriez votre requête en longue traîne (« Où dormir à Venise en famille » vs « Où dormir à Venise »).

A contrario, en choisissant « Où dormir à Venise : les meilleurs hôtels près de la place Saint-Marc », vous introduiriez des mots-clés susceptibles d’être recherchés aussi par les internautes. Dès lors, le risque c’est que Google ne sache pas s’il doit positionner votre page sur « Où dormir à Venise » ou sur « meilleurs hôtels près de la place Saint-Marc ».

4. L’écriture pour les robots, en oubliant l’internaute

La dernière erreur commune consiste à perdre de vue l’internaute dans la rédaction SEO. Pourtant, c’est pour lui qu’on écrit avant tout. Le texte doit donc comporter tous les ingrédients d’un bon contenu et être :

  • fluide ;
  • clair ;
  • agréable à lire ;
  • intéressant ;
  • sans fautes ;
  • sans bla-bla ;
  • etc.

L’optimisation pour les moteurs de recherche est la touche en plus, que le lecteur n’est (surtout) pas censé remarquer. Olivier Andrieu, le référenceur français le plus connu, résume ce principe ainsi :

« Un bon contenu SEO est un contenu écrit pour les internautes, en pensant aux moteurs de recherche. »

Les tarifs de la rédaction SEO : on lève le voile

Que vous soyez un rédacteur web intéressé par le SEO ou à la recherche d’un rédacteur SEO, une question vous brûle les lèvres : quels sont les tarifs pour de la rédaction optimisée ? L’unité de facturation utilisée majoritairement est le mot. Les prix unitaires ont bien augmenté ces dernières années et ils continueront sans doute leur progression dans le futur, à mesure que Google reverra ses exigences de qualité à la hausse.

Il faut savoir que le métier de rédacteur web SEO est récent et qu’il n’existe ni diplôme ni grille tarifaire. Chacun peut s’improviser expert. Et chacun fixe aussi ses tarifs comme bon lui semble. Dans ces conditions, difficile de donner des chiffres représentatifs de l’ensemble des professionnels du secteur. Sachez que les rédac’ ayant suivi la formation de Lucie Rondelet, t évalués 5 plumes (la note maximale), facturent en général :

  • Article de blog optimisé SEO (+/- 1 000 mots) : 180 € (soit 18 cts le mot) ;
  • Rédaction web optimisée (tarif horaire) : 50 €.

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Le rédacteur web SEO, celui qui possède les compétences pour rédiger des textes optimisés

Vous l’avez compris depuis que vous avez entamé la lecture de ce long article, la rédaction SEO ne s’improvise pas. Seul le rédacteur web SEO connaît les subtilités du référencement naturel appliquées au contenu. Il sait faire la recherche de mots-clés préalable, créer des structures d’articles optimisées, rédiger de manière naturelle en intégrant des requêtes clés. Il peut même réaliser des audits de contenu de sites internet et créer des calendriers éditoriaux pour des blogs.

Les rédacteurs qui se spécialisent dans l’optimisation pour les moteurs de recherche ont en principe la bosse du SEO. Ils se tiennent alors informés de l’actualité et des tendances, pour être toujours à la page et en faire profiter leurs clients. Eh oui, car les mises à jour des algorithmes sont incessantes : 3620 en 2019 (près de 10 par jour en moyenne), rien que cela !

⏩ Pour aller plus loin : Rédacteur SEO : fiche complète d’un job pas comme les autres

Devenir rédacteur web SEO : comment faire ?

L’autoformation

Vous voulez vous former en autodidacte à la rédaction web SEO ? C’est possible, mais l’inconvénient de cette méthode, c’est qu’elle prend du temps. Beaucoup de temps. Il faut aller chercher les informations, les compiler, et surtout, faire ses propres expériences en SEO et en tirer des conclusions. Le Web regorge de ressources gratuites consacrées au référencement naturel et à la rédaction web (dont ce blog et la chaîne YouTube associée bien sûr, n’hésitez pas à les explorer).

Autre possibilité : se former avec ses clients. C’est ce qu’à fait Lucie Rondelet d’ailleurs. Vous avez des clients qui obtiennent des très bons résultats en SEO ? Demandez-leur de vous former au référencement naturel et aux différentes techniques que doit connaître le rédacteur web (copywriting, storytelling…). Là aussi, cela nécessitera de nombreuses heures de travail et un investissement bénévole pour comprendre les outils, mais le jeu en veut la chandelle.

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La formation à la rédaction SEO

Pour les aspirants rédacteurs web SEO qui veulent aller droit au but avec des cours structurés et une méthode, le mieux reste la formation. Ici aussi, l’offre abonde sur le Web et auprès des organismes spécialisés. Formation en présentiel ou en e-learning, faites votre choix selon vos préférences. Chacune possède des avantages et des inconvénients. À vous de voir les critères qui comptent le plus pour vous.

Un conseil : évitez les formules qui vous promettent monts et merveilles. On n’apprend pas l’écriture SEO en 3 jours, c’est impossible ! La formation de Lucie Rondelet dure entre 6 et 7 mois, et est conçue pour être réalisée en mode « cours du soir » (mais on peut aussi la suivre en journée ????). On y apprend tout sur la rédaction pour le référencement naturel : des bases de la rédaction web à l’expertise SEO, en passant par la prise en main des outils.

Avant de choisir votre formation à la rédaction SEO, n’hésitez pas à regarder si elle est éligible au CPF ! La prise en charge financière peut être un sérieux coup de pouce pour envisager sereinement sa reconversion professionnelle.

⏩ Vous voulez apprendre la rédaction web avec FRW ? Découvrez le programme de la formation de Lucie Rondelet.

Stéphanie Soulier – Chargée éditoriale FRW et ancienne élève Origami 4

lucie rondelet instagram

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5 réponses

  1. Merci pour ce rappel très complet ! Même si j’écris des articles tous les jours, un tel résumé permet de rafraîchir le cerveau et de comprendre encore une fois pourquoi on fait ce métier. Merci Stéphanie et merci FRW !

  2. Hello. Super article Merci beaucoup.
    Je m’interroge cependant sur la longueur du titre, ne risque t il pas d’être tronqué ?
    Thanks

    1. Bonjour Anne,
      Tu fais référence à quoi ? Au H1 de l’article ? Il peut être plus long, car ce n’est pas lui qui apparaît sur la SERP mais le title (que tu vois quant à lui en haut de l’onglet de ton navigateur web).

      Bonne journée à toi,
      Stéphanie

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