Lorsque j’étais débutante en rédaction web, j’avais énormément de mal à savoir quels tarifs appliquer. Aujourd’hui, quand je regarde les sites qui évoquent la pseudo rémunération d’un rédacteur web, j’avoue ne pas bien comprendre… 200 euros l’article de 500 mots ? je n’y crois pas. Mais rassurez-vous, cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas gagner confortablement votre vie avec ce métier. Je vous explique tout de suite comment fixer ses tarifs et comment être rentable en tant que rédacteur web.
1 – Savoir ce que l’on vaut avant de fixer ses tarifs en rédaction web
Inutile de proposer des tarifs exorbitants si votre travail n’est pas parfait ! Au début, vous devrez vous brader et mettre votre orgueil de côté. Si vous avez suivi une formation en rédaction web, que vous avez rédigé de nombreux articles et que vous avez des preuves de la qualité de votre travail, alors, vous pourrez envisager de fixer un prix assez haut.
Je vois sur certains sites que le feuillet (250 mots) est payé dans les 200 euros… honnêtement, je n’ai jamais vu ça… on est presque à 1 euro par mot, c’est du délire !
Pour rappel, il ne faut pas confondre rédacteur web et journaliste. Le rédacteur web n’est pas censé effectuer des recherches poussées, des interviews, etc. il se contente généralement de compiler des informations, de les synthétiser et de les reformuler.
➡️ Plus d’infos ici sur le salaire d’un rédacteur web
2 – Évaluer la difficulté de la mission avant de fixer ses tarifs
Ne pas s’emballer
Au début, il m’est arrivé de m’emballer : « génial, j’ai une commande à 8 cts / mot, ça veut dire que si je rédige 4 000 mots dans la journée ça me fera 320 euros ! ». En effet, ça aurait pu être le cas, seulement voilà : la plupart des commandes à 8 cts / mot demandent un minimum de recherches et généralement, les briefings sont assez compliqués !
Objectifs : être rentable et prendre du plaisir
Vous vous demandez comment fixer ses tarifs en rédaction web ? (exemple de phrase purement SEO ;-)). Pour être rentable et ne pas finir avec des maux de tête, je vous conseille vivement d’évaluer avec précision le temps que vous allez passer sur chaque article. Aussi, si un client vous propose 8 cts / mot mais qu’il vous demande de réaliser une interview d’un type qui ne vous intéresse absolument pas, que vous devez fournir des détails techniques et faire des heures de recherches, alors, le cadeau pourrait vite devenir empoisonné (je parle en connaissance de cause !). Mieux vaut accepter une commande à 4 cts / mot, sur un lot de contenus qui ont tous le même briefing et qui demandent peu de recherche.
Calculs improvisés
Le compte est vite fait : si votre client vous commande 2 000 mots à 8 cts (avec beaucoup de recherches) et que vous y passez 2 jours, vous ne gagnerez que 80 euros par jour (en travaillant sans doute 6 h par jour ou plus).
En revanche, si vous acceptez un lot « facile » de 10 commandes de 500 mots à 4 cts et que vous y passez également 2 journées, alors, vous aurez gagné 100 euros par jour (pour seulement 2 500 mots écrits par 24h… soit environ 3 h de travail si vous avez un bon rythme).
Il n’y a pas de honte à accepter des commandes payées un peu moins cher ! Le tout est de s’y retrouver financièrement. Je fonctionne comme cela depuis que j’ai créé mon entreprise et les affaires marchent très bien pour moi 🙂
3 – Donner des exemples concrets aux clients
Une fois que vous aurez échangé quelques messages avec votre futur client, celui-ci vous demandera sans doute quels sont vos tarifs. Il se peut également qu’il vous indique sa rémunération avant même que vous n’ayez le temps de négocier quoi que ce soit, dans ce cas, ce sera à prendre ou à laisser.
Si votre potentiel client vous demande vos tarifs, je vous conseille vivement de donner des fourchettes de prix et d’y associer des exemples d’articles. Ainsi, vous pouvez dire « pour des articles de blog je demande de … à … cts / mot (donnez un exemple de texte). En fonction du briefing et du nombre de commandes, pour des descriptions de produits je demande de … à … cts / mot », etc.
Si ces tarifs ne lui conviennent pas mais qu’il est intéressé par votre profil, le client essaiera de négocier. Mon conseil : faites un essai et voyez si c’est rentable, sauf s’il vous propose une rémunération trop basse !
4 – Rédacteur web : s’auto-évaluer pour savoir quels tarifs proposer
Rédiger des contenus sur les plateformes de rédaction est un excellent moyen pour savoir « combien vous valez ». Je vais reprendre l’exemple de Textbroker car vous êtes nombreux à m’écrire pour me dire que vous avez été acceptés en tant qu’auteurs (félicitations à celles et ceux qui se reconnaissent ! ;-)).
Bref, si vous êtes un auteur 3*, il sera difficile d’exiger plus de 2 cts / mot à un client car cela signifie que vous n’avez pas encore un niveau suffisant. Si vous avez reçu 4* et que vous êtes débutant(e), vous devriez pouvoir proposer des textes à 3 cts / mot et peut-être même 4 et 5 cts si vous avez un peu de bouteille et des notions de SEO. Enfin, si vous avez reçu 5*, alors, cela signifie que vous êtes à l’aise donc lâchez-vous et proposez les tarifs qui vous semblent les plus justes en fonction du travail demandé.
5 – Se fixer un tarif horaire
Le meilleur moyen de bien gagner sa vie en tant que rédacteur web est de se fixer un tarif horaire. Imaginons que vous décidiez de gagner 30 euros de l’heure, dans ce cas, vous devrez prendre en compte le temps passé à lire le briefing, à faire des recherches, à prendre des notes puis à rédiger.
N’oubliez pas que vous devrez ensuite facturer vos clients, cela signifie donc créer un document depuis un logiciel spécifique (j’utilise Kafeo, un logiciel de facturation 100 % gratuit), l’enregistrer, l’envoyer à votre client accompagné d’un petit mot, vérifier votre compte pour voir si votre client ne vous a pas oublié(e), etc.
En d’autres termes, une fois que vous serez lancé, facturer vous fera perdre un temps fou et vous ferez sans doute tout pour ne réaliser qu’une seule facture par mois (voire moins). Pour que votre situation financière soit confortable, vous devrez réfléchir à tout ça afin d’éviter de perdre un temps précieux.
6 – Faire le tri pour gagner plus en travaillant moins
Faites régulièrement le tri dans vos clients de manière à ne garder que ceux qui vous proposent des missions intéressantes, qui vous payent correctement et qui ne sont pas « chiants » sur les retouches. Refusez les briefings trop complexes, les retouches à l’infini et les mises en page trop compliquées. Gardez à l’esprit que des milliers de sites francophones ont sans doute besoin de vos compétences donc si ce que vous demande votre client de vous convient pas, cherchez-en un autre ! Tout simplement 😉 (
Cet article vous a-t-il aidé ? Vous avez des questions ? Je les attends en commentaires !
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Merci pour votre fidélité (vous êtes nombreux à me suivre et ça me fait chauuuuud au coeur ;-))
Bonne rédac’
Lucie
28 Responses
Encore un article bien utile ! Merci !
Je démarre dans le métier, je suis inscrite sur Textbroker en 4*, j’ai commencé les choses à l’envers, nous en avions parlé sur le groupe « reconversion professionnelle » : j’ai commencé par une commande client en direct pour de la transcription de vidéos de formation + mise en page. Suite à cette collaboration, ma cliente me propose de continuer avec la rédaction de ses articles de blog, c’est un domaine que j’aime et que je maîtrise donc je suis très enthousiaste mais bien sûr elle me demande mes tarifs; elle me propose de lui fixer mon tarif « objectif », celui que je veux atteindre en rythme de croisière si la collaboration fonctionne et un tarif de démarrage. Cette proposition me semble tout à fait honnête, surtout que je démarre grâce à elle. J’apprécierais ton avis sur cette proposition si ça ne te dérange pas !
Salut Solène,
C’est super que tu aies cette opportunité avec ta cliente ! Le « problème » avec Textbroker, c’est que 35 % seront ajoutés au tarif que tu vas annoncer (en même temps c’est normal qu’ils prennent une marge, ils ont fait tout le travail de prospection, mise en relation et facturation). Donc si tu lui proposes 4 cts/mot en DO, elle sera facturée 5,4 cts/mot.
Pour commencer, je te conseille par exemple de partir sur 3 cts pour toi (soit 4,05 pour elle), puis en « rythme de croisière » à 4,5 cts pour toi 6,075 cts pour elle. Il y a des chances qu’elle refuse cette proposition car si elle passe par une plateforme, c’est qu’elle cherche à payer le moins possible… mais qui ne tente rien n’a rien, et au pire elle reverra les tarifs légèrement à la baisse. Quoi qu’il en soit, même si tu gagnes 3 cts/mot avec un premier client c’est déjà génial (pour ma part j’ai rédigé pendant plusieurs mois à 1 cts/mot) 😉
Tiens-nous au courant !
En fait je comptais la facturer en direct car c’est ce que nous faisons déjà; j’ai un compte MyAE et c’est très bien donc on se passe de cette commission Textbroker; je pourrais du coup lui proposer du 4 centimes pour commencer, sans commission ça me semble correct. Pour des articles de blog on fonctionne toujours au mot en fait ? merci beaucoup pour tous tes conseils !
Re Solène,
C’est assez difficile de te donner une idée de tarif car tout dépend du sujet, du briefing, du nombre de recherches à faire, etc. Si elle te demande une expertise et/ou de l’optimisation (SEO), alors, tu peux revoir tes tarifs à la hausse. Si en revanche elle te demande des choses très simples et qu’elle sait très bien que tu es débutante, mieux vaut ne pas être trop gourmande dans un premier temps. Après comme tu le dis, 4 cts c’est raisonnable mais encore une fois, tout dépend de ton travail.
Solène,
Je viens de me rendre compte que j’ai oublié de répondre à l’une de tes questions. Non, on ne fonctionne pas qu’au prix au mot pour des articles de blog. Tu peux travailler à l’article (tu annonces un tarif quel que soit le nombre de mots), au lot (plus tu as de commandes, plus ton tarif est intéressant pour le client), à l’heure voire même au mois. A toi de voir !
merci encore pour tes précieux conseils!
Bonjour Lucie,
J’espère que tu vas bien…Au vue des prix pratiqués c’est clair qu’il ne faut pas imaginer payer son loyer avec Textbroker &Co mais bien voir cette opportunité comme un entrainement.
A 4cts le mot quand ont la chance d’avoir un contrat récurrent, je me demande bien au bout de combien d’années on commence à vivre confortablement de cette activité… Je suis en train de réfléchir/construire un business plan valable avec un pro et clairement si je lui montre ça il va rire et va me conseiller de tout de suite changer de secteur ou reprendre une activité de salariée…:-(
Bref tu vois un peu mes questionnements…
Bises à toi et merci encore pour toutes tes infos !
Salut Audrey,
Je te sens dépitée !
En rédaction web, tu as deux possibilités (tu peux d’ailleurs faire les deux !) :
– soit tu rédiges des textes très faciles, très vite et tu demandes 4-6 cts/mot ;
– soit tu te concentres sur ton expertise, tu fais des textes « chiadés » et tu exiges 10 à 20 cts/mot (ou 100 euros le feuillet par ex).
Pour la première solution, il « suffit » d’écrire vite (c’est mon cas). Comme je te l’ai dit, je rédige en moyenne 1 000 mots de l’heure (je fais en sorte de choisir des commandes dont je connais bien les sujets). Je gagne donc en moyenne 40 – 60 euros de l’heure quand je n’ai pas de recherches à faire (j’essaie de ne pas y passer plus de 10 minutes). Le compte est vite fait : il me suffit de travailler une demi-journée pour gagner le double voire le triple d’un salaire d’emploi salarié au SMIC.
Si tu choisis de travailler dans un secteur précis et que tu as une véritable expertise, tu pourras largement augmenter tes tarifs. Tu peux donc bien gagner en rédigeant moins (mais en principe ça te prend plus de temps).
C’est une question de choix mais c’est évident qu’il faut apprendre à écrire vite, c’est la clé. J’ai réussi à taper en moyenne 1 000 mots de l’heure après 1 an et demi d’entraînement (6 mois à temps plein et un an en travaillant uniquement le soir, après mon job d’agent de voyages)… ça paraît peut-être long pour certains mais étant donné que je n’ai qu’un niveau BTS, avoir un salaire de cadre supérieur m’aurait pris beaucoup plus de temps dans la « vie réelle » !
Allez, reste motivée ! 😉
Biz
1000 mots = 6000 signes en une heure ? même sans faire d’enquête en débarquant sur un domaine d’activités que vs ne connaissez pas cela me semble heu… incroyable ! j’aimerais bien lire un texte de 1000 mots écrit en une heure, pouvez vs me l’envoyer s’il vs plait ?
Bonjour Julienne,
Il n’y a rien d’incroyable… pratiquement tous les articles de ce blog sont écrits à ce rythme par exemple (sauf celui sur la typographie). Il m’arrive même de dépasser les 1 000 mots et de faire 1 200 mots en une heure.
Je vous envoie un exemple par e-mail tout de suite.
Hello Lucie,
C’est bizarre je n’ai pas reçu de notif de réponse de commentaire…Merci pour tes précisions, j’y vois un peu plus clair. Je ne suis pas dépitée mais je dois monter le business plan et je n’aiu pas encore beaucoup de références pour visualiser la viabilité du projet même si je te fais entièrement confiance. Merci une fois de plus pour toutes tes infos…ces 2 options sont en effet très intéressantes en terme de stratégie. A très vite, Audrey
Hello Lucie,
Pour ma part, je ne suis jamais passée par ces sites et n’ai pas non plus facturé au mot. Suivant les clients, je facture au texte, ou bien à l’heure. Et je gagne aussi correctement ma vie, même si je trouve que depuis 2 ans environ, c’est beaucoup plus dur de se démarquer.
Merci pour ton témoignage Alix, l’avis d’autres rédacteurs web est très important.
Bon ma cliente m’a validé mon tarif à 4 centimes pour commencer avec possibilité de progression à 6 centimes dans quelques temps, donc je vais commencer la rédaction de ses articles je suis super contente ! on est parties sur un objectif de 3 articles par semaine d’environ 1700 mots, sachant que les articles sont déjà documentés par ses vidéos et qu’il s’agit de les retranscrire et enrichir le contenu, dans mon domaine de prédilection ; je suis donc ravie. Je voulais te remercier pour tes conseils, parler de prix n’a jamais été quelque chose que j’affectionne et quand on débute c’est compliqué mais tu m’as donné des éléments concrets ce qui m’a permis d’avoir l’air pro en annonçant mes tarifs. Encore merci pour ton site qui est une mine d’infos utiles pour moi !
C’est vraiment top Solène, BRAVO ! Je suis ravie d’avoir pu t’aider ! 🙂
Bonjour Lucie,
Encore une mine d’informations, merci beaucoup!
Bonjour Lucie,
Cela fait un moment que je regarde ton site, et j’ai « fouillé » dans tes vidéos Youtube mais il y a une info que je ne parviens pas à trouver : comment se fait-on payer ? En passant par Paypal ou y a-t-il une autre méthode ?
En te souhaitant une très bonne journée 🙂
Sandrine
Salut Sandrine,
Le rédacteur web se fait payer comme n’importe quel prestataire de service : par Paypal, Stripe, Virement, chèque et même pourquoi pas espèces ! Tout dépend de ce qu’il préfère et du choix du client. Bonne journée à toi, chez moi il est déjà 19h20 😉
Bonjour Lucie,
Tu écris dans ton article : « Aussi, si un client vous propose 8 cts / mot mais qu’il vous demande de réaliser une interview d’un type qui ne vous intéresse absolument pas, que vous devez fournir des détails techniques et faire des heures de recherches […] »
On est bien d’accord, dès lors qu’il y a interview, voire reportage, ce n’est plus de la rédaction web stricto sensu ? On est plutôt dans la communication d’entreprise reprenant les techniques journalistiques.
En journalisme, même s’il est parfois difficile de se faire respecter aussi au niveau des tarifs, un feuillet ne devrait pas être payé moins de 60 euros bruts EN SALAIRE (le pigiste est un salarié, obligatoirement). Montant auquel on ajoute 10 % de congés payés (payables deux fois par an), et un pourcentage en fonction de l’ancienneté (une fois par an). Mais comme c’est du salaire, ça inclut une certaine protection sociale (maladie, maternité, retraite, chômage). Pour avoir l’équivalent en tant qu’entrepreneur, il faudrait facturer au moins 50 % de plus (90 euros le feuillet).
Si on part sur 90 euros le feuillet (250 mots), cela revient à 36 cts le mot. Il faut donc vraiment (mais vraiment vraiment !) bien expliquer aux clients la différence entre la rédaction web et la communication de type journalistique. Le prix doit être adapté, car ce n’est pas la même valeur ajoutée non plus.
Merci pour toutes les informations que tu partages avec nous.
Et pourtant, 200€ les 500 mots, ça existe. C’est ce que me paie une agence partenaire pour rédiger des articles pour l’un de ses grands comptes.
Le gros souci de la facturation au mot, pour moi, c’est d’être perçu comme une machine à écrire. Or à mon sens on ne vend pas des mots, mais de la valeur. On vend des articles qui s’intègrent à une stratégie de communication.
Je suis bien consciente qu’il y a rédaction Web et rédaction Web, et que quand on débute on ne peut pas annoncer de tels tarifs, mais pour une plume expérimentée, c’est tout à fait possible.
Bonjour Lucie,
Je te suis en sous-marin depuis plusieurs mois et je suis tombée sur cet article fort intéressant.
Je suis rédactrice web depuis un an maintenant et je suis loin de la rémunération dont tu parles. Aujourd’hui, je facture 0,08€/mot à 0,10€/mot. Je pense que ce sont des tarifs honorables, vu que j’ai commencé sur Textbroker et TextMaster comme toi, sauf que j’y suis restée moins longtemps que toi car les tarifs étaient(sont !) très bas.
Pourtant, je n’arrive pas à avoir une rémunération correcte car je suis quelqu’un qui n’écrit pas très vite. Quand je lis que tu peux rédiger 1000 mots de l’heure, je suis dingue ! Comment y arrives-tu ? Je n’arrive même pas à faire ça en une seule journée. Sauf peut-être pour mes articles de blog que je diffuse sur mon site pro. Là, je suis libre de rédiger comme je l’entends donc la fluidité de rédaction est indéniable !
Je sais que c’est avec la pratique que l’on devient meilleur mais au bout d’un an, certes j’écris quand même plus vite qu’au début, ce n’est pas comme je l’aurai souhaité.
Je suis parfois « désespérée » mais je continue à obtenir de nouveaux contrats et mes clients qui sont contents de mon travail. Du coup je m’accroche car travailler en indépendant franchement c’est ce qu’il y a de mieux. Je me vois mal retourner en entreprise ^^.
Bien à toi
Alexandra
Bonjour Alexandra,
Il faudrait sans doute que tu changes de méthodologie car écrire 1 000 mots dans la journée pour des contenus « classiques », ça n’est en effet pas rentable. Perso, je préfère facturer un peu moins cher mais m’éclater sur des textes plus « légers » (et aller très vite) que de me creuser la tête pendant des heures car mon client me paye 10 cts / mot et que je dois être irréprochable…
Bonne continuation à toi !
Bonjour Lucie,
J’ai essayé plusieurs méthodes pour voir celle qui aiderait à ma productivité. Aujourd’hui, celle qui me convient le mieux (et peut-être pas la meilleure) c’est de prendre mes notes sur papier, de faire mon plan sur papier et après je rédige. Mais c’est au niveau de la rédaction que ça coince. Je reprends (très/trop) souvent mes phrases. Je n’arrive pas à faire un texte d’une traite et à revenir dessus ensuite pour corriger.
Je cherche comment mieux faire mais pour le moment je n’ai pas de solution miracle.
#keepgoing ?
Merci pour ce bel article ! Il va bien m’aider à fixer mes tarifs pour la suite ? (d’ailleurs je ne connaissais pas du tout TextBroker merci à toi pour la découverte ?
merci lucie!!! STP, concernant l’afrique, quels sont les moyens de paiements diponible en Afrique pour un freelance? parce que avec paypal on peut envoyer de l’argent et non recevoir.
Bonjour, certainement les virements bancaires internationaux… Regarde aussi Transferwise et Braintree peut-être.
Bonjour, je n’arrive à trouver l’information nulle part, alors je viens vers vous. Je débute en rédaction web en écrivant sur des plateformes de rédaction et j’ai reçu un premier versement d’une plateforme, mais comment le déclarer auprès de l’Urssaf/pôle emploi/etc.
Dois-je transmettre une facture à la plateforme de rédaction ? Comment ça fonctionne dans la pratique ?
Bonjour, je vous laisse contacter la plateforme directement.